Lancement de la campagne telecoop

TeleCoop et son agence TACTIC/14Septembre abordent la décroissance dans le secteur des télécoms dans une campagne de sensibilisation à la sobriété numérique.

TeleCoop, la coopérative qui disrupte le monde des télécoms, s’engage depuis 2020 pour la réduction de l’empreinte carbone du numérique. À partir du mardi 10 mai, l’opérateur de la transition écologique commercialise un forfait qui invite les Français à modérer leur consommation de données tout en les sensibilisant à des usages téléphoniques plus durables. En complément, TeleCoop est le premier opérateur téléphonique à proposer une aide à la réparation du terminal mobile pour les conserver plus longtemps.

Une campagne pour expliquer l’urgence de démarrer la transition numérique

Écouter de la musique, naviguer sur internet, regarder une  vidéo, s’orienter, renouveler régulièrement son terminal... toutes ces habitudes, multipliées à l’échelle des Français, polluent : le numérique représente 4 %des gaz à effet de serre au niveau mondial et ce chiffre pourrait doubler d’ici à 2025. Résultat ? Si le numérique était un pays, il serait le 6e pays le plus polluant au monde. 85 % des Français estiment qu’il devrait être prioritaire de réduire l’impact du numérique sur l’environnement dans les années à venir. 

L’approche stratégique et créative de la campagne : concilier technologie et sobriété

Dans un contexte où parler de décroissance est encore trop souvent synonyme de retour à l’âge de pierre, TeleCoop etTACTIC/14Septembre souhaitent faire la démonstration que si on aime la technologie, il est vital de mieux l’utiliser en raisonnant nos comportements. Pour faire cette démonstration et associer, dans l’esprit du plus grand nombre, la marque et les enjeux de la sobriété numérique, c’est le principe du palindrome qui a été retenu afin de pouvoir jouer avec deux visions radicalement opposées du monde, qui s’affrontent souvent, sans jamais réussir pour l’instant à se réunir. TeleCoop ne souhaite rien de plus que la décroissance des usages négatifs associés aux technologies (émissions de CO2, prédations des ressources, addictions aux écrans,...) tout en promouvant la croissance d’un secteur de la tech au service de nos relations humaines (développer des circuits de réparation locaux, des forfaits solidaires pour les publics fragiles,...). Une approche éloignée des discours culpabilisants ou caricaturaux développés autour des enjeux de sobriété.